Vous souhaitez le meilleur pour vos enfants! Vous désirez qu’ils deviennent sportifs pour la vie entière ! Découvrez toutes les explications et tous les composants de la formule gagnante!
Soyons francs ! Le sport déploie ses bienfaits contre les cancers et les maladies neurodégénératives surtout chez l’adulte. L’enfant, lui, bénéficie d’une mécanique biologique toute neuve ! Bien évidemment, des situations physiologiques apparaissent désormais précocement et l’activité physique reste un rempart contre l’obésité et le diabète, de plus en plus fréquents chez nos bambins, ainsi que contre les effets délétères de l’inactivité physique et de la sédentarité.
Le vrai challenge pour l’enfant plus que de « faire du sport » est de « devenir sportif » pour toute la vie. C’est ainsi qu’il profitera d’une sérieuse protection contre les maladies de civilisation et les altérations fonctionnelles d’un corps peu à peu déconditionné.
Les cahiers de l’INSERM consacrés à l’activité physique se font l’écho d’une étude de référence sur le sujet. Statistiquement et sur le long terme, emmener ses enfants au club de sport ne suffit pas à en faire des adultes sportifs.
Et s’il ne fallait pas se contenter de faire le taxi? Les jeunes ayant pratiqué exclusivement des sports collectifs et encadrés avaient plus de risque de devenir sédentaires que ceux qui avaient fait du sport avec leurs parents! Rien de plus logique, nous y reviendrons !
Les enfants destinés à être des adultes sportifs avaient pratiqué une activité physique en famille ! Au cours des premières années de la vie, le cerveau recèle de puissantes capacités d’apprentissage. Les neurones se multiplient encore beaucoup. On parle de « neurogenèse ». Et surtout, ils établissent et sélectionnent des milliards de connexions les uns avec les autres. C’est la
« neuroplasticité ».
Ces aptitudes se manifestent sur le plan intellectuel, moteur, émotionnel et même social. Dans l’ordre, énumérons quelques exemples. Au cours de cet âge d’or, il est plus facile d’apprendre à parler anglais ou à faire du golf ; les écoles bilingues et autres « Académies sportives » en ont fait leur fond de commerce. Enfant, les traumatismes affectifs sont lourds de conséquences ; Freud déclina cette notion pour échafauder le concept de la psychanalyse !
Et enfin, les schémas sociaux constatés pendant l’enfance constituent aisément des références pour construire sa vie adulte.
En clair, si vous faites du sport avec votre enfant, vous témoignez de la possibilité de conjuguer activité professionnelle bien remplie, vie familiale investie et entraînement sportif régulier ! Ainsi, vos progénitures parviendront plus aisément à suivre votre bon exemple ! D’autant plus qu’elles auront aussi découvert sur le terrain toutes les subtilités organisationnelles pour mener à bien cette philosophie de l’existence…
À l’inverse, si vous « les emmenez faire du sport », vous leur proposez un schéma de vie où l’adulte devient chauffeur et spectateur. L’enfant peut se représenter son parent adulte comme ayant renoncé à sa propre activité sportive. N’hésitez pas alors, si vous le pouvez, à lui montrer l’exemple !
Certains psychologues définissent l’éducation comme « l’école de la frustration ». À bien y réfléchir, cette approche n’est pas dépourvue d’intérêt, notamment concernant le sport. Le bébé apprend qu’il ne peut pas obtenir immédiatement tout ce qu’il souhaite. En premier lieu, il doit parfois patienter un peu pour combler son appétit. Le bambin sillonnant le supermarché en compagnie de sa maman découvre qu’il n’a pas l’autorisation de repartir avec la totalité du rayon jouets sous le bras!
L’adolescent est bien forcé d’accepter que cette jeune fille ne le trouve pas à son goût et qu’il devra rencontrer, plus tard, une autre partenaire! De façon tout à fait comparable, le lycéen comprend qu’il doit réviser plutôt que de sortir samedi soir s’il veut réussir son interro de lundi! Il en est de même pour le jeune sportif qui renonce à la facilité d’un jeu vidéo pour se rendre à l’entraînement et préparer sa compétition du mois prochain!
Cette capacité à se projeter vers un objectif gratifiant mais différé est à la fois génétique et acquise ! Le « test du marshmallow » a été mis au point par le psychologue états-unien Walter Mischel en 1972. Il semble détecter quelques prédispositions et prémices de l’impact éducationnel autour de la volonté. Il consiste à placer un enfant seul dans une pièce avec une table sur laquelle est posé un marshmallow. L’expérimentateur lui explique qu’il lui donnera une deuxième guimauve quand il reviendra dans 15 minutes si le premier n’a pas été mangé! Bien que les résultats restent controversés, le verdict initial de cette recherche fut sans appel. Le succès au « test du marshmallow » est corrélé à la réussite sociale future. Il pourrait même être rattaché à une pratique sportive assidue! Cette capacité sociologique à la frustration prend ses racines neurobiologiques dans le cortex préfrontal qui assure l’inhibition des pulsions.
Comme son nom l’indique, cette zone du cerveau est située derrière le front. Elle est particulièrement volumineuse chez l’homme et, selon bon nombre de chercheurs, elle participe à notre humanité comme en témoigne le front plus fuyant de nos cousins les grands singes. L’histoire de la médecine nous offre une anecdote parfois romancée mais toujours emblématique qui contribua à la découverte de la fonction du cortex préfrontal. Phineas Gage était ouvrier dans les chemins de fer au XIXe siècle.
En ce 13 septembre 1848, il creusait un tunnel et enfonçait un bâton de dynamite dans une fissure de rocher avec une barre à mine. C’est alors qu’une étincelle de frottement provoqua une explosion et propulsa l’outil à travers le crâne du contremaître et détruisit son lobe préfrontal. Dans la version traditionnelle, il survécut à ses blessures mais de salarié modèle il devint vagabond sociopathe. Il était incapable de maîtriser son agressivité, marquait son territoire en urinant partout et présentait un comportement sexuel débridé.
À l’inverse, l’exercice régulier paraît associé à un cortex préfrontal plus volumineux. Il s’agirait à la fois d’une cause et d’une conséquence, un véritable cercle vertueux. L’enfant ainsi équipé parviendrait à bloquer ses pulsions flemmardes. Et, à l’occasion de ses efforts physiques, il développerait cette zone du système nerveux central. Il en est de même de toutes les frustrations inhérentes à l’éducation qui donnent au cerveau de l’adulte la volonté d’aller courir au petit matin alors que la maisonnée dort encore…
Si l’enfant doit apprendre la frustration pour obtenir une gratification différée, l’adulte doit finir par manger les marshmallows accumulés sur la table de l’expérimentateur ! La course au « toujours plus » dans la contrainte physiologique ou psychologique mène au surentraînement ou au burn-out, voire à la dépression. À un moment, le traileur doit stopper la surenchère des distances et le professionnel doit limiter sa charge de travail! Un proverbe bouddhiste dit que le bonheur consiste à espérer ce que l’on a déjà!
Le sport collectif est plein de vertus! Évidemment, il enseigne l’esprit d’équipe. Il apprend à s’adapter à la diversité des personnalités pour mener à bien un objectif commun! Il cultive l’esprit de compétition et de dépassement de soi! On croirait une recette managériale dans une multinationale! Quoi de plus valorisant? Malheureusement, mon expérience de médecin du sport m’a appris que les adultes ont tendance à renoncer trop rapidement. Rien de plus logique ! Lorsqu’on travaille et fonde une famille, il est difficile de se rendre systématiquement à l’entraînement des mardis et jeudis à 19 h 30. S’il y a compétition, c’est sans parler des week-ends bloqués par les matchs et les interminables trajets pour s’y rendre! Conjoints et enfants ne tardent pas à ronchonner… à juste titre!
Les confinements de la COVID 19 ont apporté au cabinet des exemples encore plus parlants! En l’absence de séances de groupe, de nombreux jeunes pratiquants de sports collectifs ont renoncé à tout exercice physique! Et, bien sûr, à la reprise, ils se sont blessés! Plus tard, après 40 ans, ce ne sont plus les contraintes sociales ou psychologiques qui limitent ceux qui étaient tant bien que mal parvenus à continuer. À l’âge où le sport devient indispensable pour entretenir la biologie, c’est l’appareil locomoteur qui hurle de douleur pour réclamer l’arrêt des sauts, des blocages et des pivots!
Le phénomène est d’autant plus marqué que, avec les années qui augmentent, c’est la taille du terrain qui diminue. Avec le « five » ou le « futsal », les adultes parviennent à programmer plus facilement des entraînements entre amis mais les multiples changements de direction agressent leurs articulations… surtout si ces dernières ne sont pas entretenues par une autre pratique plus régulière et individuelle. Les activités collectives sont encouragées par l’acquisition de techniques individuelles que proposent les éducateurs sportifs et les entraîneurs. Les trêves et les vacances imposent de garder la forme. Elles constituent l’occasion idéale pour découvrir d’autres disciplines. L’école de la frustration y trouve encore une mission pédagogique.
Cette fois, les disciplines sportives telles que le foot, le basket ou le hand ne constituent plus uniquement un jeu, mais on intégrera dans son mode de vie de la marche rapide, voire de la course, du vélo ou de la natation! Et puisque l’appétit vient en mangeant, le plaisir vient en pratiquant surtout avec un système nerveux juvénile, apte à tous les apprentissages techniques et émotionnels. Bien sûr, on débute en famille et on continue à courir ou pédaler avec des copains. Le chemin initiatique vers une pratique assidue à l’âge adulte n’est pas terminé! L’expérience montre que celui qui attend ses amis pour aller faire un footing est souvent déçu ! Il patiente inutilement et leurs partenaires ont toujours une bonne raison pour décommander… peut-être sont-ils en train de manger des marshmallows!
Bref, soit il abandonne à son tour et sirote une bière devant Netflix, soit il gagne en autonomie et part trottiner sans être accompagné! Ce phénomène sociologique est si discriminant qu’il est à l’origine de la publication d’un bouquin rigolo: Mon guide pour courir toute seule comme une grande ! Bref, après le footing en famille puis avec les potes, le jogging en solitaire constitue une étape éducationnelle incontournable sur la route du sport pour la vie entière !
Encourager, stimuler… et votre enfant peut devenir peu à peu un compétiteur! Attention, la victoire dans l’enfance n’est pas obligatoire pour devenir un adulte sportif. Votre bambin fait des efforts, il s’entraîne davantage parce qu’il rêve du haut niveau… parce qu’il aime ça, mais aussi parce qu’il veut lire la fierté dans vos yeux! Il progresse, vous êtes de plus en plus fier! Certains psychologues du sport un peu violents parlent de « réussite par procuration » !
Peu à peu, votre enfant se fatigue de ces séances trop fréquentes, trop dures, il sature de ces compétitions qui lui dévorent tous ses week-ends! Les études commencent à être difficiles, il faut qu’il révise! Et puis, il sent qu’il doit se reposer! Il souhaiterait même voir ses amis… Et, un jour, il entend raisonner dans sa tête la chanson de Françoise Hardy : « Tous les garçons et les filles de mon âge se promènent dans la rue deux par deux »! C’est alors que votre adolescent, « adulte qui naît » étymologiquement, craque et revendique son autonomie! Il arrête le sport et suit son propre chemin! Dans les cabinets de médecine du sport, on constate que ces schémas mènent parfois au dégoût du sport et font souvent basculer vers une sédentarité réactionnelle!
Prudence! Accompagnez votre loupiot compétiteur, ne surinvestissez pas à sa place! Il a même le droit de ne jamais gagner! La frustration face à l’absence de victoire peut même être considérée comme un point de passage crucial, indispensable pour continuer à pratiquer quelles que soient ses aptitudes!
À un âge où le cerveau est capable d’acquérir de multiples coordinations, il est intéressant de développer l’ensemble des activités pluridisciplinaires avant toute spécialisation, ce que proposent les entraîneurs pour progresser!
La « diversité » des pratiques chez l’enfant est un placement sur le long terme! Si votre enfant sait nager le crawl, faire du roller, du VTT, du ski de piste, du ski de fond, du surf, de la planche à voile, du tennis, du squash, du base-ball, du cheval, du golf et que sais-je encore… il n’aura que l’embarras du choix pour continuer toute sa vie! Cet éventail d’activités lui permettra de varier les plaisirs et de rester toujours motivé! Et plus encore! Avec ces différentes activités, il multipliera les bénéfices pour sa santé et réduira les risques de surmenage! Il accédera spontanément aux vertus de l’entraînement croisé!
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